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La fin des insectes

La Fin des insectes ?
76% des insectes ont disparus en Europe en moins de 30 ans.

La fin des insectes, c’est notre mort annoncée !

C’est une information qui claque comme un clap de fin, vous l’avez sans doute lue ou entendue dans vos journaux papier, radiophoniques et télévisés. Personne ne s’attendait à ces résultats impressionnants, surtout troublants, cette disparition met en péril l’équilibre qui permet aux espèces – dont l’espèce humaine – de vivre. Le monde du vivant est une équilibre, que l’homme croyait maitriser, au point, qu’il n’a pas pris la mesure du phénomène, ni surveillé l’impact des produits utilisés en agriculture intensive. On sait maintenant de source scientifique que les néonicotinoïdes sont responsables de la disparition de centaines d’espèces. Les insectes sont les premiers touchés, mais la réaction en chaine a sans doute déjà commencé.

Cette étude essentielle, réalisée en Allemagne sur 63 Zones protégées et pendant 26 années montre que 76% des insectes ont disparu et pire encore, 82% de la population des insectes volants. QUATRE VINGT DEUX POUR CENT ! Vous en comptiez 100, il n’est reste plus que 18 !

La fin des insectes n’empêche pas les autorités de valider des produits tueurs !

Hier encore 2 produits dits néonicotinoïdes – ceux dont on sait qu’ils tuent les abeilles – sont les mêmes pesticides qui tuent tous les insectes ont bénéficié d’autorisation de mise sur le marché par les autorités, au nom du… pognon sans doute 😉 et contre nous, puisque ne nous cachons pas derrière notre petit doigt, après les insectes, il en aura d’autres des disparitions.
Il y a un biais dans la communication sur la « disparition des abeilles », en réalité, c’est la mort de tous les insectes pollinisateurs et plus, de tous les insectes, ce, sans distinction de catégories.
L’agriculteur conventionnelle TUE sans distinction, sans scrupule, car on ne peut plus parler d’ignorance. Évidemment, es labos peu regardants, mais très avides défendent par le mensonge l’efficience de leurs produits, nient les effets sur les populations à coup d’études scientifiquement faussées.

L’effet Papillon :

L’image est belle, mais terrible. En effet, vous connaissez peut-être cette question d’Edward Lorenz qui relève d’une tentative d’explication de la théorie du Chaos : « Le battement des ailes d’un papillon au Brésil peut-il provoquer une tornade au Texas ? » Cette question nous concerne belle et bien maintenant que nous avons les résultats de cette étude.

Quelle sera la réaction en chaine de cette annonce ?

Une réaction politique, gouvernementale ?

Sur jaime-jardiner.com, il nous arrive de militer pour le bio mais, on fait rarement dans la politique. Mais, de mon point de vue, le ou les gouvernants successifs ont oublié leur mission. Leur mission, c’est de gouverner au service de la population française, et pas au service d’intérêts particuliers. Les intérêts particuliers des labos qui produisent les pesticides et plus concret, les intérêts des agriculteurs qui utilisent ces pesticides et qui refusent de regarder en face les dégâts irréversibles qu’ils sont en train de produire. Notamment parce que le principe de ces pesticides, c’est de traiter la plante, alors même qu’aucune maladies n’a atteint la plante. Pire encore, lorsque la maladie s’installe malgré les produits qui entourent la graines… C’est alors qu’on vient ajouter encore des pesticides, rendant la quantité de produits utilisés toujours plus importante.

Est-ce que la disparition des insectes préfigure la disparition des humains ?

Certains insectes sont pollinisateurs, ce n’est pas qu’une question de miel, mais une question de reproduction naturelle. Si elle n’était plus possible, combien de temps le monde pourrait continuer à cultiver.
Les insectes sont également la nourriture des oiseaux, mais s’il n’y a plus d’insecte, il n’y aura plus d’oiseaux. Et là encore, les oiseaux participent à la reproduction de la nature en « digérant » des graines et en les répartissant aléatoirement dans la nature.
Les oiseaux font aussi partie de la chaine alimentaire naturelle.

 

 

Les cultivateurs, producteurs industriels portent une responsabilité énorme, au travers de leur mode de culture polluant.

Ce qui est impressionnant, c’est que la disparition des insectes touche tous le type d’habitat.

Faim pour l’homme Nous ne pouvons pas savoir comment les système de reproduction

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