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Jardiner BEAU, Cultiver BIO, Cuisiner BON

Créer un jardin potager

Potager mélangé

Mon premier jardin potager…

Créer un premier jardin potager, c’est le rêve de beaucoup de familles, et il y a quelques raisons pour cela :
La fierté de produire soi-même les légumes pour toute la famille.
Cultiver bio pour maitriser la qualité des légumes, des herbes aromatiques et des fruits…
Produire plus de variétés au potager, des légumes plus rares, qu’il est plus difficile de trouver dans les commerces d’alimentation courants, quand cuisiner est un hobby, découvrir des saveurs et les partager au travers des recettes est un vrai plaisir !
Le facteur économique, est également important, car avec un jardin moyen peut permettre de produire une partie de la consommation de la famille, ce qui baisse le coût des courses.
Le partage et l’échange, parce que, quand on produit au potager, il peut arriver que les récoltes soient plus abondantes que nécessaire, et selon les variétés, il n’est pas toujours possible de les conserver. On peut vendre le surplus, ou le donner aux amis… On peut aussi échanger la production avec d’autres jardiner amateurs. Il existe d’ailleurs, des associations où les jardiniers se regroupent dans les villes et les villages pour coordonner les cultures. En tout cas il y a le début d’u mouvement.
• Il y a bien sûr l’amour du jardin, il y en a qui trempent dedans depuis tout petit 😉
• Et ceux qui aiment la nature, le grand air, la terre et… l’exercice !

Créer un jardin potager, c’est être et rester en forme !

Alors, comment s’y prendre pour passer à l’acte ?

Il faut commencer par se poser quelques questions, car il faut respecter certaines règles, sous peine d’échouer dans son projet de jardin potager. Et puis, un petit conseil. Il ne faut jamais hésiter à prendre les avis d’amis jardiniers. Ils vous procureront des conseils intéressants, directement issus de leur souvent longue expérience. Généralement il sont passionnés, et j’en suis sûr, ils seront les premiers à vous proposer de l’aide, par exemple du prêt de matériel, ou un coup de main, un regard sur le sol, ce qu’il y’a lieu de faire en premier, comment implanter les cultures…

7 questions importantes à se poser, pour réussir la création d’un potager :

  • Quel est « l’ambition » de votre projet potager : vos envies, vos besoins et ceux de votre famille ?
  • Où implanter le jardin potager ?
  • Quelle terre pour le potager ?
  • Quel culture pour quel sol ?
  • Comment organiser les cultures au potager ?
  • Quels matériels, outils, serre… seront nécessaires ?
  • Comment réussir les cultures des semis à la récolte dans votre région ?

Pour y répondre…
1. Qualifiez vos besoins :

Tout d’abord quand on commence un potager, il vaut mieux ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre. Commencer avec un potager de 40m2 c’est déjà très bien. Bien sûr avec 40 m2, on ne nourrit pas la famille toute l’année, il faudrait environ 100 m2 par personne. Mais vous allez déjà pouvoir vous régaler avec VOS légumes, ce que vous aurez cultivés avec amour et détermination.

40 m2 c’est finalement assez peu pour un potager, comme je le disais plus tôt. Et pour un début, je vous propose de vous concentrer sur les cultures faciles au potager.
Commencez par des légumes dont le rendement est assez important, environ 1,5 kg par m2. Cultivez des betteraves, des carottes, du céleri, des courgettes, des navets, des panais, des oignons, des poireaux, des radis, des tomates.
Plantez aussi quelques chicorées frisées et scaroles… elles remplaceront avantageusement une culture récoltée. Et pour finir, quelques fraises (ne serait-ce que pour s’en glisser quelques-une en-même temps qu’on travaille au potager.

Pour gagner de la place, vous pouvez également cultiver verticalement. Ça augmente d’autant la surface 😉 ! Toutes les variétés de légumes grimpants s’y plairont absolument : haricots, fraisier, courgettes, certaines variétés de potimarron… En plus, c’est plus facile à récolter ! Pour faire une culture verticale, rien de plus simple, installer un grillage ou un treillis à béton,et le tour est joué… Vous pouvez également faire une structure bois.

Et pour finir, n’oubliez pas les arômatiques et pourquoi pas quelques fruitier, comme les groseilles, les cassis…

2. La situation du jardin potager :

• L’exposition au soleil du potager est centrale. C’est vrai notamment pour les semis pleine terre… Car pour nombre de variétés, une terre un minimum chaude à +/- 12°C est exigée pour que la pousse démarre. Donc pour faciliter la travail, un potager au soleil, c’est vraiment mieux, avec une petite zone mi-ombre, c’est parfait !
• Un terrain avec point d’eau à proximité, sinon, à pendant les périodes sèches… ça devient vite compliqué.
• Un potager près de chez vous, trop éloigné de la maison… C’est une mauvaise idée. Le potager ce n’est pas forcément des heures de travail par jour…. Mais c’est souvent 10 minutes une fois, rien le lendemain, 30 min un autre jour…. Alors quand c’est à proximité de la maison, c’est quand même bien plus pratique, on y va au moment opportun. Et puis y passer régulièrement, c’est la garantie de détecter l’apparition d’une maladie, une attaque de mollusque, un manque d’arrosage. c’est aussi la facilité de donner un petit coup de binette, un paillage, un arrache de mauvaise herbe… Vous m’avez compris, je le vois 😉 !

3. La qualité de la terre, du sol :

• Pour créer un potager dans les meilleures conditions, il faut un sol souple. C’est quoi un sol souple, c’st un sol pas trop tassé, sans cailloux. Pour faire un test, il suffit de prendre une bêche oui une fourche bêche et de l’enfoncer dans le sol. Si vous y arriver facilement, bonne nouvelle. Au contraire si vous éprouvez des difficultés, sans doute y aura-t-il une première étape qui consistera à nettoyer le sol.
• Une couleur sombre comme est une indication d’une bonne proportion d’humus dans le sol, c’est à dire la présence de matière organique décomposée et mélangée au sol.
• Pour nourrir les légumes, la terre doit s’imprégner d’eau sans la laisser stagner. L’eau doit s’évacuer. Un équilibre entre de l’humus, une légère part d’argile est idéale pour obtenir un sol bien nourrissant.

L’astuce du jardinier amateur :
• Après un petit coup de bêche, prenez une motte de terre. Faites en un boule. Si ça fonctionne, c’est un bon point.
• Si vous réussissez m^me à faire un cylindre…. C’est relativement mauvais signe, cela veut dire que l’argile est trop présente, il faudra l’amender de terreau et de compost pour la rendre plus conforme à la culture du potager.
• Si au contraire, la terre finit par laisser une sorte de poudre.. Là c’est très bon signe, c’est le limon qui constitue un très bon éléments pour le sol !

Un point sur l’acidité du sol…

En fait, c’est relativement simple : potager et acidité ne font pas bon ménage. Alors test ou pas test de ph ? Personnellement je dirai, si la terre est conforme aux point ci dessus, laissez tomber et lancez-vous. Si au contraire elle est claire, rien ne pousse même pas l’herbe… Là ce n’est pas bon signe. Trouver un autre terrain ? Conseil sympathique mais pas si simple. Non.
Mais vous pourriez vous lancer dans des potager en carré pour lesquels vous pourriez mettre une très bonne terre, gage de réussite ! Les potager carré, vous pouvez les acheter mais vous pouvez les fabriquer vous même sur mesure, il existe plein de tutoriel sur youtube.

4. Organiser le potager :

C’est un moment important et plaisant pour les amoureux du jardin, car c’est une étape qui permet de se projeter la première année du potager certes mais surtout sur le futur du potager. Quand on apprécie les beaux jardins potagers, c’est aussi le moment de décider de le travailler le potager en carré, ou plus classique, le potager en ligne, ou encore d’innover et d’en faire un potager esthétique avec un jeu de couleurs, de tailles, de forme des légumes… Là on ajoute de la difficulté mais rien n’est impossissible 😉 !
Commencez sur le papier en dessinant la forme du jardin le plus précisément possible… Et comment vous imaginer implanter les cultures (des infos au point ci dessous pour le mixage des cultures… Même dans les légumes on y revient… Le mixage c’est la vie !

• Le potager en ligne :

De longs rectangles d’environ 1 à 1,2 m de largeur. Autour et entre eux, Créez des allées de 0,5 m, C’est à dire assez pour circuler facilement et travailler sur les culture sans marcher sur la terre et donc éviter de tasser ou d’abimer les légumes. Les cultures peuvent être bordées ou sur élevées dans des casier de bois ou de branches par exemple pour rendre le potager mieux délimité et plus esthétique. On peut également poser des éléments cailloux, pavage, écorce sur les allées, ce qui évite l’entretien de ces zones et par temps mauvais, on abime moins, on salit moins.

Astuce du jardinier :
Une allée de la largeur d’une tondeuse permet d’entretenir les allées – vite fait – bien fait – une tonte et hop !

• Le potager en carré :

Très en vogue ces dernières années, le potager carré, une méthode « inventée » par un américain qui a eu la bonne idée de « cloisonner » les cultures dans des cases, permettant ainsi une plus grande facilité de culture, parfois moins de fatigue, quand ils sont à hauteur d’assise par exemple ou mieux à hauteur des mains. Généralement des casiers d’1,2 mètre pour 9 à 12 ou 16 petites parcelles (côtés divisés par 3 ou par 4). De nombreux potagers carrés existent à monter, en « kit », mais attention tout de même. Un potager carré possède une durée de vie assez limitée. En effet la terre et l’eau viendront rapidement à bout des planches.
Avant de commencer, il faut déjà se demander quand et comment ça va se finir….Comment protéger les planches le mieux possible et surtout comment anticiper le remplacement de celles-ci… Car une fois les culture commencées, la terre va commencer à vivre et se construire. Tout démonter pour tout remonter n’est pas une bonne solution. La terre doit rester intacte.
Il faut pouvoir démonter les planches, au moins 2 planches par hauteur de côté, afin que la structure tienne pendant le démontage d’une planche, vis inoxydable, protection des planches et des pieux… Attention aux produit pas cher… Généralement bois de mauvaise qualité et mauvaise conception….

5. Savoir associer les cultures et anticiper la rotation des cultures :

La rotation des cultures, c’est d’une part faire tourner les cultures bien sûr, mais c’est aussi l’anticipation de ce que peut apporter une culture par rapport à une autre : Ci dessous un exemple pour 6 typologies de légumes que vous pouvez placer dans votre premier potager. Chaque culture remplacera l’autre dans le temps et d’une année sur l’autre.

A. Les légumes-graines :

Ils nourrissent et enrichissent le sol en azote, :  haricot, pois, fèveCes légumes sont idéals pour les cultures suivantes. Veillez à ne pas arrachez la culture après la récolte. (Conserver leur racine dans le sol constitue un excellent engrais naturel)

B. Les légumes-feuilles :

Laitue, épinard, mâche, certaines chicorées…

C. Les légumes-fruits :

Ce sont des cultures exigeantes, avant la plantation, il vaut mieux procéder à un ajout de compost.
Aubergines, potironcourgettes, citrouille, poivrons, piments, tomates.. tous !

D. Les légumes-racines :

Betterave, panais, céleri, carotte, rutabaga, radis et radis noirs, navet, asperges et salsifis, topinambour, pomme de terre

E. Les légumes-arômatiques :

L’ail, l’échalote, les oignons

F. Les autres légumes :

Les poireaux, les choux, les cardons, les artichauts, …

L’astuce du jardinier amateur :

Selon la place dont vous disposez parfois on ne peut produire que sur des toutes petites surface, 
l’astuce consiste à mixer les légumes en fonction de leur typologie. Par exemple placer des laitues, ou bien des aromatiques comme du basilic aux pieds des tomates car elles poussent en hauteur…. 

6. Les 10 outils les plus utiles au potager  :

Bêche :

C’est l’outil sans doute le plus utile et utilisé, que toute personne qui possède un jardin se doit de posséder. la bèche sert à retourner la terre, à casser les mottes et travailler les bordures… Et plus encore. Il existe d’autres outils spécialisés,pour réaliser des travaux, par exemple le dresse-bordure, mais la bêche s’en sort parfaitement.

Le fourche-bêche :

La fourche-bêche est complémentaire à la bêche, elle est utilisée lorsque la terre du jardin ou du potager est lourde, argileuse ou caillouteuse. ses dents écartées permette au jardinier de produire moins d’effort et donc de pouvoir travailler plus longtemps. Par ailleur, les dents écartées encore, en sol caillouteux réussissent à se frayer un chemin ce qui n’est pas le cas de la bêche traditionnelle.

Binette :

Elle est utilisée dans les ligne du potager. Le jardinier l’utilise pour casser la croûte de terre après une période de pluie. C’est un outils important car lorsque les méthode de culture sont bio, il est important de s’appuyer sur ces geste qui permettent de casser l’angle des rayon du soleil ce qui permet à la terre de sécher moins rapidement. Et par ailleurs, lorsque la terre est travaillée, l’eau ne ruisselle pas et pénètre la terre pour alimenter les légumes.

Croc du jardinier :

C’est une sor te de fourche à angle droit. Elle est utilisé de de nombreuses taches, par exemple pour défricher, pour retirer l’herbe morte des zones qu’on a laissées au repos, et permett l’arrachage lors de la récolte des pommes de terre, etc…

Grelinette :

La grelinette est un outil assez génial, on en parle beaucoup avec la montée en puissance d’une culture bio, plus respectueuse de l’environnement. Elle permet d’aérer la terre sans la retourner. Lorsque la terre est retournée, cela modifie la strucuture du sol et modifie notamment la vie microbienne, mais plus largement du vivant. Dans la culture Bio ou la permaculture, on considère le sol non pas comme un simple support de culture mais comme une matière vivance et force est de le constater, le sol vivant est un allié puissant pour le jardinier. Par ailleur la Grelinette est assez bien pensée pour éviter au jardinier le mal de dos, les 2 manches à hauteur d’épaule permette de bien démultiplier donc de faciliter le travail.

Râteau :

Le râteau est un outil premier du jardinier, comme la bêche, il permet de répartir la terre pour applanir le sol pour la culture des planches de légumes. Il permet en outre de « filtrer » la terre de ses cailloux pour au final obtenir un sol propre et plat après le travail du sol..

Serfouette :

La serfouette c’est 2 outils en 1, d’un côté, une langue, une lame étroite, selon le modèle parfois angulaire et parfois plus pointue, elle sert à sillonner le sol, à tracer des lignes pour les semis. Les 2 dents pointues, permettent le désherbage rapide, d’aérer la terre…

Sécateur :

Le sécateur, un autre basique au jardin. Il permet de tailler les branches de petites à moyenne au jardin et de pincer certaines cultures, de couper les feuilles et les racines des plantes lors des divisions… C’est un outil important qui doit toujours être propre et surtout désinfecté en permanence pour éviter de passer une maladie invisble d’une plante à une autre.

Plantoir :

Le plantoir permet de créer des trous, facilement dans la terre pour installer des bulbes, des plantes et même semer les graines.

Griffe :

La griffe au départ est un outil en métal à 3 dents au bout d’une manche en bois, Il permet de gratter ou griffer les premiers centimètres de terre, il est notamment utilisé lors de l’apport de fumier ou de compost au jardin ou au potager. Au jourd’hui on trouve des griffes pivotantes qui permette là encore de travailler les premiers centimètres de terre pour créer des mottes plus que poiur mélanger.

Brouette :

La brouette, encore un basique, dès que la surface du potager est importante ou bien éloignéé, elle permet de déplacer de la terre, du terreau, des herbes et même des outils, elle peut aussi être utile lors des récoltes.

Serre :

En supplément la serre, on en trouve à des prix accessibles bien que la solidité ne soit pas toujours au rendez-vous. Mais par exemple dans les régions du Nord, elle est parfois intéressante pour commencer les culture rapidement des légumes qui adorent le soleil comme les tomates…

7. Des semis aux récoltes : quelles sont les bons gestes à réaliser au potager ?

Semis et repiquage :

• Le point de départ des cultures au potager c’est bien sûr les semis, mais nombre de jardinier privilégient d’acheter des plants, plutôt que de semer. Dans l’idée c’est gagner du temps, c’est parfois indispensable quand le jardinier n’a pas la possibilité, la place des produire des semis au chaud. Et c’est bien, chacun fait comme il veut. Un petit défaut toutefois, mais pas forcément contournable. Les plants des jardineries sont souvent des variétés très généralistes alors qu’il existe une très grande variété de légumes que les graines permettent. Et des graines bio de surcroit, il y en a 250 variétés potagère différentes.

L’arrosage :

• Jusqu’à la levée, il est important que les graines ne manquent pas d’eau. Ne manque pas d’eau ne veut pas dire que les graines doivent tremper. Non. Il faut dans la plupart des cas, faire en sorte que le substrat terreux, le terreau, soit humide. Quand le jardinier arrose trop il risque les maladies comme la fonte des semis, et d’autres maladies cryptogamiques.

• Au potager, en fonction de la région de culture, l’arrosage doit être dosé. Certaines variétés cultivées ne doivent jamais manquer d’eau, d’autres variétés y son moins sensibles. Idéalement il faut arroser le sol, au pied des plantes et éviter d’arroser leur feuillage.

Binage :

• Le Binage permet de casser la croite de terre, c’est un geste d’une grande utilité car il permet à l’eau de pénétrer plus facilement en profondeur ce qui permet de mieux alimenter les plants de légumes. Il permet également de limiter l’évaporation des sols qui offrent une surface moins accessible.

Paillage :

• Le paillage est un geste complémentaire au binage, car il permet de conserver l’humidité présente dans le sol aux pieds des cultures en créant de l’ombre. Il peut avoir une action de fertilisation aussi en fonction du paillage utilisé.

Fertilisation :

• La fertilisation est l’action de nourir le sol et les cultures. La permaculture a remis au goût du jour le travail des sol au préalable, bien avant la mise en place des culture grace au engrais verts. Des plantes particulière, légumieuses et autres, dont les racines et la décomposition végétale permettent la diffusion ou la fixation dans le sol de l’azote.

• L’ajout de compost et/ou de fumier, légèrement incorporé aux sols ou plancé en surface, en se décomposant va diffuser les éléments nourissant dans le sol. Un point d’attention, en fonction des cultures, il faut utiliser un apport ou un autre. Toutes les culture n’acceptent le fumier par exemple, ou le compost mal décomposé.

Pincer ou tailler les plants :

Le pinçage ou la taille des légumes est utile pour limiter le nombre de fruits qu’un plant va porter. Par exemple une courge coureuse doit être taillé pour limiter à 3 ou 5 fruits selon la variété. Moins de fruits veut dire fruits plus gros, plus de fruits veut dire fruits plus petits.

Traitement :

• Toutes les régions ne sont pas égales face à la météo. Parfois les conditions sont réunies, chaleur, humidité, pour créer les conditions de l’appartition de maladies. Parfois ce sont des invasions d’insectes par exemple, les fèves attirent les pucerons.
On peut parfois laisser la nature faire, et laisser quelques plants à l’invasion mais, le jardinier ne peut pas risquer sa culture tout entière.

• Il existe des produit bio qu’il est possible de faire soit même, comme les purins : purin d’ortie, purin de consoude, d’absynthe, d’ail, de prêle de tanaisie… Certains possède des qualités insecticides (ou insectifuge éloigne les insectes), (absinthe, ortie, fougère, tanaisie…) D’autres des qualités renforçantes, stimulantes, nourissantes (Ortie, consoude, Choux). L’avantage c’est que ce sont des produits bio et que même s’il ne faut pas en abuser, il est prouvé leur efficacité, n’en déplaise aux Ayatollah des produits chimiques.

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