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Noisetier

Noisetier - toutes les information pour cultiver le noisetier au jardin, en haie ou en isolé

Le Noisetier, fabuleux arbuste fruitier des forêts, au jardin.

Le noisetier est un petit arbre, ou arbuste, généreux, facile au jardin où l’on peut le planter en massif comme en haie champêtre comestible où il régalera la famille comme les auxiliaires du jardin, comme les écureuils si le jardin est à proximité d’une zone naturelle comme un bois ou encore une forêt. C’est un arbre robuste. Il peut être cultivé partout en France, de l’Est à l’ouest, grâce à une rusticité de -15°C au moins. Si le noisetier est un arbre, sa capacité drageoner fait qu’est ne se développe que rarement en tronc unique. Il est plutôt composé de nombreux rameaux qui ondulent au gré des vents et des périodes de feuillaison, floraison et de fructification. Le fruit est un akène avec la particularité d’être d’une taille supérieure aux akène des fraisiers et ds figuiers. Ici l’akène est composé d’une seule graine – la noisette – dont l’enveloppe ne s’ouvre pas à maturité – certie dans une coque ligneuse. La peau végétale qui entoure la noisette s’appelle involucre, c’est en réalité des bractées soudées entre)elles qui forment cette enveloppe.

Idéalement pour profiter d’une belle fructification, il est, si pas nécessaire, mais disons utile ou malin de planter au moins 2 sujets de variétés différentes pour assurer la pollinisation. Le noisetier est un arbuste qui pousse naturemment en forêt généralement en situation protégée du froids par les autres arbres et arbustes et avec une lumière possiblement mi-ombre. Si vous plantez le noisetier dans une régions froide, même si sa rusticité est importante, n’hésitez pas à la planter en situation abritée pour ne pas risquer un bête coup de gel sur les fleurs (janvier fevrier).

Le savez-vous ?

Il existe un très bel arbuste au port retombant appelé noisetier du japon ou faux noisetier ? Cet arbuste c’est corylopsis, un arbuste qui mesure de 1,5 à 4 m de hauteur. Il développe des belles fleurs jaunes qui apparaissent au milieu de l’hiver, avant les feuilles.

Nom botanique :

• Coryllus avellana

Info plante :

• Cycle : Plante vivace
• Feuillage : Caduc
• Rusticité :  Plante rustique (-16 °C)
• Famille : Bétulacées, betulaceae
• Port : Arbuste – Port arbustif
• Exposition : Soleil et Mi-ombre
• Sol : Tout sol bien drainé, peu calcaire, riche ne humus
• Multiplication : Marcottage, bouturage
• Plantation : Automne, novembre avant les gelées
• Floraison : hiver – janvier, février
• Fructification : Fruits d’été
Récolte : Automne récolte des fruits secs
• Enracinement : Racines
• Zone de culture : Voir la carte de rusticité France ou Quebec
• Origine : Europe
• Plante mellifère : Oui (pollen)
• Plante comestible : fruits
• Plante Toxique : Non

Particularités :

• Longévité plus de 100 ans
• Il atteint sa pleine capacité de production à l’age de 4 à 5 ans.
• Arbre très drageonnant d’où son port arbustif.

Quels avantages au jardin :

• Facile à cultiver.
• Nombre important de fruits à récolter.
• Arbuste idéal en haie

Quelle exposition pour le noisetier ?

Exposition soleil, et mi-ombre

Le mot du jardinier amateur :

Une fois n’est pas coutûme, faisons un peu d’histoire à défaut d’en raconter une. Historiquement, le noisetier est un arbure des forêts européennes. son nom Latin lui vient du Latin Corylus littéralement « capuchon » pour le genre. Quant à l’espèce « avellana », c’est à une petite ville d’Italie, de la provoince de campanie, où les fruits des noisetiers étaient particulièrement réputés pour leur taille et leur saveur, qu’il la doit.

Quel sol pour le cultiver ?

• Tous sols bien drainés
• Le noisetier est tolérant aux sols calcaires.
• Le noisetier préfère les sols riches et profond aux sols secs.

Méthode de multiplication ?

Bouturage, marcottage

Le mot du jardinier :

Il existe plusieurs méthodes pour multiplier le noisetier. Mais compte tenu de la capacité de l’arbuste à produire des drageons, c’est naturellement la méthodes la plus utilisée, c’est à dire un marcottage naturel. Voir comment faire ci dessous.

Quand bouturer ?

• Bouture d’automne, novembre.

Comment réaliser une bouture du noisetier ?

Bouture simple :

Prélevez quelques extrémités de branches du diamètre d’un crayon.
• Faites la coupe à 3 mm au dessus d’un œil, en tout le rameau doit en porter 4.
• Débarrassez-les de toutes les feuilles si l’arbuste en portait encore.
• Plongez la base des rameaux dans de l’hormone de bouturage.
• Puis placez-les dans un mélange sable et terreaux humide.
• Seuls deux yeux doivent sortir du substrat.
• Placez les boutures dehors, au jardin, mais à l’abri d’un mur si possible.
Maintenez le substrat humide jusqu’à ce que les racines apparaissent.
• Repiquez au printemps, ou en période hors gel, en grand pot ou en pleine terre.

Le mot du jardinier amateur :

Pour rappel, le sécateur doit être propre et désinfecté. Très important car la coupe pourrait transmettre une maladie aux boutures mais également à l’arbre père.

Quand marcotter le noisetier ?

Au printemps : en mars ou avril.

Comment marcotter le figuier en cépée (ou butte) ?

Il existe 2 méthodes de marcottage, en cépée (ou en butte) et marcottage par couchage, voyons cette première méthode.

Faites une cépée ou une butte constituée d’un mélange de sable et de tourbe, au-dessus de la souche.`
• C’est cette butte est constituée de tourbe et de sable pour moitié, car c’est ce mélange qui favorise le « bourgeonnage » mais aussi la pousse des rejets (nouvelles petites branches de la base de l’arbuste, ainsi que de racines.
• Laissez la cépée ou butte jusque l’automne suivant.
• À l’automne déc ouvrez la souche et,
• Séparez les rameaux enracinés du pied mère.
• Repiquez les sans tarder.

Marcottage du noisetier par couchage des branches :

C’est une méthode simple et c’est la mthode la plus répendue lorsque les sujets à marcotter ne drageonnent pas.

• Ramenez une branches du noisetier au sol.
• Faites une saignéedazns le sol, un trou en longueur de 30 cm et de 20 cm environ de profondeur .
• Ajoutez du terreau au fond du trou.
• Plancez la tiges de noisetier toujours attachée au pied mère.
• Fixez contre le substrat avec un ou deux crochets en « U ».
• Recouvrez de terreaux puis de terre du jardin.
• Laissez la marcotte en place jusqu’à l’automne.
• Vérifiez la prise des racines.
• Si tel est le cas, vous pouvez dessolidariser la branche du pied mère (sécateur propre et désinfecté). On appelle cette opération sevrer le nouveau plant.
• Transplanter directement en pleine terre au jardin ou dans un grand pot, si l’emplacement au jardin n’est pas encore connu..

Quand planter le noisetier ?

• La meilleure période est l’automne, particulièrement Novembre.
• La plantation peut-être réalisée jusque le mois de février en évitant les période de gel.

Le mot du jardinier amateur :

Parfois l’automne, en fonction de la région de plantation, se fait très pluvieux. Trop de pluies ne sont pas favorables aux plantations, y compris pour le noisetier. Idéalement décaler la plantation à un moment où le temps se fera mois… trempé.

Comment le planter ?

Arbuste en motte, en conteneur :

• Faites tremper la motte dans un seau d’eau.
• Travaillez la terre du jardin sur deux hauteurs de bêche, environ 60 cm de profondeur et de largeur.
• On considère que le trou doit faire deux fois le volume de la motte de l’arbuste à planter.
• Amendez le sol d’un compost ou fumure bien décomposé. Placez-en une ou deux pelletées avant de placez l’arbuste.
• Ajoutez du sable à la terre pour améliorer le pouvoir drainant, éventuellement ajoutez du terreau.
• Placez l’arbuste.
• Rebouchez au fur et à mesure pour que la terre s’installe bien autour de la motte.
• Tassez sans abimer les racines. On tasse avec les mains plutôt qu’avec le pied pour éviter d’abimer les racines.
• Utilisez le surplus de terre issue du trou de plantation pour créer un rebord pour créer une cuvette autour de l’arbuste.
• Permet de mieux conserver l’eau d’arrosage et de pluie.
• Arrosez.
• La première année, faites un apport plus important en eau afin de favoriser le développement des racines.

Le mot du jardinier :

• Si vous souhaitez en planter plusieurs noisetiers, laissez environ 2 mètres entre chaque arbuste.
• Dans les régions chaudes au sol sec, prévoyez un arrosage plus régulier la première année, il favorisera la fructification et une fois par an, l’apport de compost à intégrer à la terre de surface.

Culture du noisetier en pot ?

Si dans le cadre d’une bouture ou d’un marcottage il est tout à fait possible de conserver un noisetier en pot de 40 à 50 cm, dans la pratique, votre arbuste commencera à se ternir dès que le manque de place pour les racines se fera ressentir. C’est généralement le cas au bout de 2 ou 3 années. Changer pour un plus grand pot ? Certes.  Mais là encore, quelques années plus tard, il faudra de nouveau passer à un rempotage, cette fois dans un pot bien plus grand. En fait le noisetier ne se plait pas vraiment en pot.  Je suis loin de connaitre toutes les variétés et les expériences bien sûr. N’hésitez pas si vous connaissez une culture en pot réussie, où le noisetier est beau et produit des fruits, à nous le communiquer.

Noisetier commun - forme buissonnante ici arbuste en isolé dans la campagne

Quand Tailler le noisetier ?

Le noisetier n’est pas un arbuiste qui doit être taillé trop régulièrement. Il y a la taille qui permet de limiter les dimensions au jardin, mais le noisetier ne s’étend pas particulièrement. Il faut plutôt penser la taille et intervenir pour favoriser la productipon de fruits, de noisettes.

Quand produire taille de formation :

• Elle doit être faite pendant le repos végétatif du noisetiert, sur les 2 ou 3 premières années.
• Généralement, la taille du noisetier commence au milieu de l’automne jusqu’au milieu de l’hiver, de novembre à février.

Quand pratiquer la taille de fructification :

• Cette taille destinée à favoriser la production de noisettes est pratiquée au même moment que la taille de formation, c’est à dire lors que l’arbre est en repos végétatif de novembre à février.

Taille de restauration ou de régénération :

• C’est une taille plus importante qui sera pratiquée à la même période, une fois tous les 20 ans.

Noisetier : taille de formation :

Le noisetier est cultivé en touffe, c’est sa forme la plus courante. Elle est de peu d’entretien et facile à obtenir. La touffe se développe à partir de 5 à 6 branches principales. De là se développent les branches secondaires. La taille de formation a pour but, comme c’est le plus souve,nt le cas pour les arbres fruitiers, d’aérer l’arbre. L’idée principale étant de permettre à l’air de passer entre les branches et de limiter les branches du cœur de l’arbre, qui ne produisent que peu de fruits.

Plant planté en conteneur, touffe formée :

• Maintenez le cœur de l’arbre aéré.
• Coupez toutes les branches secondaires qui se développent au cœur de l’arbuste et orienté vers son centre.
• Idéalement ne conservez que 6 ou 7 branches principales (charpentières) et leurs branches secondaires orientées vers l’extérieur de l’arbuste.
• C’est généralement comme cela qu’il est élevé en conteneur, mais le noisetier étant tellement drageonnant qu’il peu produire bien plus de branches à partir de sa souche.

Plant constitué d’une seule branche :

Lorsque vous élevez un noisetier d’une seule branche, après une bouture ou un marcottage, la première taille est là pour favoriser la production de la structure de l’arbre, c’est à dire les branches charpentières. Ce sont ces branches qui permettront aux branches secondaires de former la touffe.
• Ne conservez que 4 ou 5 yeux à partir de la base de l’arbuste sur cette branche.
• Les yeux fromeront les branches pricipales, charpentières, de l’arbuste.
• Ces branches à partir desquelles l’arbuste va produire les branches secondaires, sa ramûre.
• Le plant va également drageonner et produire d’auters branches pour constituer la touffe initiale de l’arbuste.
• La touffe arrive à maturité vers 3 années.

Taille de fructification

La taille de fructification du noisetier intervient lorsque la production de fruits ralentit. c’est une taille qui à pour but de forcer la production de nouvelles branches et qui remplaceront les branches qui ne prosuisent plus ou peu.

• Coupez à la base les plus grosses branches dont vous avez remarqué qu’elles ne produisaient plus ou beaucoup moins.
• Sur les branches restantes, plus jeunes, supprimez les rameaux secondaires qui se développent à partir de la base de ces branches.
• Les deux années suivantes, de nouvelles branches se seront développées…
• Ne conservez que les plus solides et vigoureuses.

Taille de restauration du noisetier :

• C’est une taille importante qui n’est pratiquée que tous les vingt années. C’est une taille qui doit redronner une nouvelle jeunesse à votre arbuste.
• En novembre et jusqu’à février,
• Coupez toutes les branches. Rabbatez les au niveau de la base de l’arbuste, juste au dessus du niveau du sol, à la souche.
• Utilisez une scie bien propre et désifectée.
• Placez du cicatrisant sur les coupes de l’arbustes
• De nouvelles pousses vont apparaitre et reformer un nouvel arbuste vigoureux et productif en deux ou trois années.

Entretien du noisetier :

Le noisetier est un arbre ou un arbuste facile au jardin. Il ne nécessite que peu d’entretien en dehors de la taille. Seules quelques particularités doivent conduire le jardinier à intervenir. Météo particulière, attaques ou maladies.

Arrosage :

• L’arrosage est à pratiquer de manière légère mais régulière la première année de plantation.
• Ensuite il faut surveiller. Si les conditions de chaleur et de sécheresse se dessinnent, il faut arroser à nouveau.

Entretien du sol et fertilisation :

• Généralement pas nécessaire, c’est seulement lorsque le noisetier est planté dans un sol pauvre et arride.
• Tous les 2 ans, intégrez au sol un engrais pour arbre fuitier
• éventuellement à l’automne, ajoutez un lit de compost. Grattez pour le mélanger à la terre de surface.

Floraison du noisetier :

• La floraison du noisetier apparait tôt en saison, généralement au mois de janvier et dure jusque mars.
• L’arbuste possède une particularité, il est anémophile, c’est à dire que son pollen est porté par le vent, et c’est de cette manière que la fécondation peut se faire.
• Par ailleurs, les fleurs mâles apparaissent plus tôt que les fleurs femelles sur l’arbuste .

Quelques variétés de Noisetier :

Corylus Buttler :

C’est une variété qui commence à produire des fruits assez rapidement. La récolte est précoce de début septembre. Les fruits sont allongés, assez gros et la coque assez claire. Il est conseiller de planter des noisetiers par 2 et de différentes variétés. Au buttler, associez le Corylus Ennis, Cor. bolwiller ou Cor. Nottingham

Corylus Merveille de Bolwiller

Bolwiller est une variété très cultivée. La récolte est également précoce, dès septembre. Les fruit son rond avec une petite pointe. Le fruits, la noisette est légèrement sucrée. VOus pouvez le cultiver avec les variétés suivantes : Cor. Buttler, Cor. Longue d’espagne ou Cor. Gunslebert.

Corylus Rouge de Zeller

Récolte tout début octobre, les fruits sont moyens et la coque tire sur le rouille/rouge. Les fruits sont de belle qualité gustative et légèrement suvrés. Il eput être cultiver avec Corylus Nottingham,  et Cor. Webb’s Prize Cob.

Maladies et prédateurs du Noisetier :

Le noisetier est un arbuste résistant au maladie et aux attaques Néanmoins certaines variétés son plus sensibles que d’autres et l’environnement peu parfois favoriser les attaques d’insectes.

Maladies Fongiques :

Antracnose :

L’anthracnose est une maladie atteint les feuilles du noisetier, comme ses rameaux et ses branches. Généralement les attaques d’antracnose sont plus fréquentes quand le temps est frais et pluvieux.

Oidium :

L’oidium touche généralement le dessous des feuilles. Des taches jaunes apparaissent sur la face supérieure dans un deuxième temps. Puis, point caractéristioque de l’oidiumn, les dépôts blancs poudreux s’étendent jusqu’à recouvrir la totalité de la surface de la feuille. Les feuilles peuvent aller jusqu’à se déformer, s’enrouler et tomber. Généralement

Insectes ravageurs :

Balanin :

Curculio nucum ou balanin du noisetier est un petit coléoptère qui se nourrit et se développe sur toute les parties du noisetier. après l’accouplement, la femelle pond un œuf dans une jeune noisette. La larve éclose se nourrit du fruit, de la noisette, jusqu’à ce qu’elle se décroche de l’arbre et tombe. La larve sort alors de la noisette dont elle la capacité de forer un trou grâce à ses mandibules. Elle va rester un long moment dans le sol enfouie dans une sorte de nid. Elle eput y rester jusqu’à 4 ans. Puis elle va muer en nymple et puis en coléoptère, l’insecte adulte. Le cycle de vie dure 2 à 4 ans.

Comment limiter les dégâts du balanin ?

Comme souvent, c’est l’observation qui va permettre d’intervenir vite. Parcontre plus qu’un tratement, c’est un suivi et un entretien tout au long de l’année qui va permettre de vous en débarasser.
Attirez les oiseaux et les auxiliaires dans votre jardin (le merle, les grives apprécient les insectes… mais les musaraignes ou le hérisson les larves. Des graines pour les oiseaux, un point d’eau et pourquoi pas un nichoir. En automne, retirez les feuilles en dessous de l’arbre et grattez la terre superficiellement. Chassez les larves le cas échéant, et pourquoi pas mettre une poule… Fates un tas avec des branchages coupés, c’est une endroit dont les insectes se serviront d’abri. Dans ces insectes il pourrait y avoir un prédateur du balanin.Dès le début du printemps, ajoutez des bandes de colle glue sur les troncs et les branches des arbres. Plus tard, vers la fin du mois de mai, placez une bâche blanche ou claire au sol, sous et autour du noisetier. Secouez fortement l’arbuste de manière à faire tomber les insectes dont le balanin ! Récupérez-les et si vous ne voulez pas les éliminer… Déplacez-les… loin. Observez bien les jeunes noisettes et cherchez des noisettes trouées. Retirez-les et brulez-les. Faites pareil si des fruits sont tombés au sol. Rammassez et brulez.

Capricorne du noisetier :

Le capricorne on connait. Mais en réalité, il existe de nombreuses espèces. Le capricorne du noisetier – Oberea linearis – est un petit insecte fin et alongé brun noir. La femelle adulte pond des œufs sous l’écorce du noisetier et d’autres espèces comme le noyer par exemple. Uen fois éclosent, les larves se nourissent du bois. Avec l’hiver elles hibernent puis au réveil recomment à se nourir du bois de l’arbre qui dépérit. Quand l’attaque est importante ou récurente l’arbuste peut en souffrir fortement, parfois en mourir. Le cycle de vie dure 2 ans.

Comment Lutter contre ?

L’idéale c’est l’anticipation. Il faut observer les arbustes de près. En cas de noisette trouées sur l’arbre. Supprimez les noisettes, elle sont colonisées. Nettoyez le sol de toutes les noisettes déjà tombées pour limiter qu’elles se cachent dans le sol. Dans les idées naturelles, avoir des poules peut être intéressant, elles sauront aller chercher les larves dans le sol. Ajoutez des abris à oiseaux dans le noisetier et attirez les avec des boules de graines.

Puceron vert du noisetier :

Le puceron vert à un cycle de vie court. Plusiseurs cycles par année. Les pontes sont faites à la base des bourgeons. Tous les organes peuvent être touchés, mais ce sont principalement les bourgeons, feuilles et extrémité des branches qui se trouvent couvertes d’insectes et de miellat.

Pour lutter contre ?

Il faut mettre de la glue sur le trons et les branches pour empêcher le plus possible que les fourmies colonise l’arbre et permettre que des insectes auxiliaires soient présent dans la jardin. Coccinelle, punaise verte… quand l’infestation n’est pas trop forte un mélange eau savon noir peut parfois permettre de s’en défaire.

Que planter avec  ?

• En mélange avec d’autres arbustes, fruitiers ou non, pour constituer par exemple une haie.

Utilisation :

• Au jardin : En haie champêtre, en isolé, en massif d’arbustes, en verger.
• Sans jardin :

Photo arbuste entier – Wikipedia.org sous licence CC3.0

Image par Frauke Riether de Pixabay

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